Le confort sanitaire et l’habitat dans les lieux sensibles

Un habitat est confortable lorsque, par rapport aux conditions extérieures (climat, écosystème et biodiversité) et aux conditions du confort intérieur, il apporte pour autant toutes les satisfactions attendues en matière de confort sanitaire. Telle est l’idée des habitants qui souhaitent vivre dans un confort adéquat qui fixe les propres mesures de détente, quiétude et bien-être avec les mesures offertes par l’habitat. En cela, découvrir les besoins du confort en donnant la parole aux habitants, représente la garantie circonstancielle d’une valorisation du corps et de l’esprit des diverses populations surtout lorsqu’ils vivent dans un milieu écologiquement sensible. Mais aujourd’hui, pour répondre aux enjeux du confort sanitaire écologique, l’habitat en milieu sensible doit offrir une qualité de l’air intérieur exemplaire, une réduction des nuisances sonores intérieures et extérieures et la maximisation des apports de lumière naturelle et en cela bien s’intégrer à l’esthétique de l’environnement. Dans cette mesure, pour cadrer l’évolutivité contextuelle de l’habitat dans les lieux sensibles afin de préserver leur durabilité écologique, il s’agit de tente de réguler la corrélation « lieux sensibles dans des zones thermales, des zones à nature sauvage et authentique - l’habitat en général et l’habitat touristique en particulier qui constituent le ciment des processus d’intégration du confort écologique imposé par les nouvelles exigences énergétiques et environnementales ». En effet, les exceptionnelles conditions naturelles des milieux sensibles auront un véritable rôle à jouer dans l’amélioration sanitaire et du bien-être. Ce rôle se décline sur 3 axes qui ponctueront le cheminement de la recherche du bien-être accordé aux sens qu’aux besoins.